Nos organisations, solidaires de l’ensemble des acteurs de la musique et de l’audiovisuel et de l’ensemble de la société française, ont pour devoir de protéger celles et ceux qu’elles représentent : les entreprises de l’édition et l’ensemble de leurs salariés, autant que les auteurs et les compositeurs, qui ne sont ni des entreprises ni des salariés.
Les organisations professionnelles d’auteurs, de compositeurs et d’éditeurs de musique recommandent à leurs membres de suivre toutes les consignes émises par les autorités publiques pour lutter contre la propagation du COVID-19.
Dans nos professions et au delà, les effets économiques sont déjà sévères :
– commandes d’oeuvres et contrats de synchro, reportés ou annulés
– séances de travail, d’enregistrement ou accompagnement de travaux techniques, reportés ou annulés
– engagements pour des dates ou des tournées, annulés
– sorties de films reportées, déprogrammées ou annulées
– accès aux médias et promotions des oeuvres sorties, impossibles en fonction de l’actualité sanitaire
– festivals, rencontres et interventions (éventuellement rémunérées), annulés
– salles de concerts, de spectacles musicaux, de cinémas, de théâtre ou d’opéra, fermées
– ventes de supports (partitions, CD) et contrats de mise à disposition de matériel d’orchestre stoppés
– impact sur les droits répartis par les OGC, dont ceux en provenance de l’étranger, incertitudes sur les contenus traités et sur le calendrier
Communiqué signé par ATAA, CEMF, CSDEM, EIFEIL, GAM, SNAC, UCMF, ULM, UNAC, UPAD
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